Peu de mots foutent le bordel autant que féminisme. Je comprends un peu: on se fait un devoir de dénoncer ce qui va mal, mais on parle pas mal moins fort quand c'est le temps d'encourager ce qui va bien.
Non, on va pas castrer tout ce qui a été fait avant #MeToo. J'ai même re-regardé Rocky et j'ai trouvé que c'était en avance sur son temps.
Cherchez pas la perfection (ni un mot sur internet contre lequel personne ne peut jamais rien dire, ça existe pas dans le cyberespace!) mais il boxe pas pour avoir une fille. Il boxe d'abord pour lui même et c'est le fait d'avoir une passion, de faire quelque chose plutôt que de pleurer sur son sort qui le rend justement attirant (non se pâmer sur la creation d'un autre!). C'est un tough mais il est capable de montrer de la peine ou du doute (comme quand Mickey meurt dans Rocky 3), il travaille fort mais est capable de survivre à la défaite et ne méprise pas ses adversaires (même que dans Rocky, l'overconfidence annonce souvent le désastre).
J'parle pas de son physique! Pas besoin d'avoir son physique pour essayer d'avoir un peu de son attitude.
Sooky vient faire un tour dans le nouvel appartement à Taco et pique une jasette sur les façons dont Moncton est en train de changer...en bien et en mal.
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