Donc, qu’est ce que j’ai niaisé lors de la dernière année pour presque pas publier pendant tout c’temps là?
Disons qu'en plus du covid et de me battre avec Adobe Illustrator, le sujet dont je voulais parler me faisait peur…mais comme la fenêtre dans la cave, si elle fait peur, c’est qu’elle demande à être ouverte pour enfin!
C’est une fiction historique, mais le bootlegger du chapitre 1est inspiré d’une personne, morte depuis juin 2003, qui a vraiment existé. Ses actions ont fait mal a des gens qui vivent toujours et les stupiditées que l’on croyait à l’époque sur le sexe, la dépendance et la famille, voire sur ce que c’est que d’être acadien lui ont permis de commettre ses crimes non dans le secret (“Tout le monde savait ça!”) mais dans le silence ( “tout le monde” savait...mais personne a rien fait!).
Les idées peuvent être changées. Les idées sont faites pour changer! Je n’ai pas connu cet homme quand il était enfant mais ce que je sait de la psychologie me dit qu’il n’est pas né prédateur sexuel ni alcoolique.
C’est pas 1755 mais la souffrance sociale que je vois en Acadie, ca aussi, c’est une bataille à mener même si elle n’attire pas les touristes.
J’était aussi choquée de voir certaines feministes se moquer de victimes masculines d’abus sexuels. On entend des discours sembmables sur les médias sociaux, c’est celui de ceux qui se foutent de changer quoi que ce soit, juste de “gagner” un débat stupide! Tant ces radfems à cinq cennes que les incels qui citent Nietzsche tout en parlant comme si la souffrance d’une femme n’aura pas d’impact sur les hommes qui l’entourent ou comme si la souffrance d’un homme n’aura pas d’influence sur les femmes qui l’entourent ont franchement besoin de lâcher leurs grands livres prétentieux et d’ouvrir un dictionnaire pour mieux comprendre les mots “société”, “relation” et “famille”.
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